Livres et recueil de poèmes D'ELISABETH MEISSIREL

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Biographie d’Elisabeth Meissirel

Dans ses dix premières années, elle écrit des poèmes, dessine, peint et se passionne pour la danse.
A 7 ans elle étudie le piano et fait partie des petits rats de l Opéra de Marseille.
Un conflit familial, la pousse à abandonner le piano.
Pour la danse classique, elle réfute un certain académisme mais voudrait continuer.
« Si tu abandonnes le piano, tu abandonneras la danse aussi » dit sa maman. Elle ne désespère pas et pousse les meubles pour danser chez elle.
  • À 19 ans elle décroche un bac philo, puis poussée par sa famille, elle fait une année de médecine.
  • Elle abandonne ses études, car elle est plus inspirée par l’écriture, la peinture de premières picturales, que par la biologie.
  • Elle écrit ses premiers poèmes pour oublier ses journées ennuyeuses à la Fac de médecine
  • Après une rencontre avec de jeunes ouvriers, dans une discothèque où elle va danser le samedi soir et le dimanche, elle tombe sous le charme d’un homme des îles. Un métis: Joyeux Eric
  • Elle décide de monter des chorégraphies avec lui. Passionnée de comédie musicale. A 22 ans elle monte plusieurs pas de deux avec son ami et partenaire Joyeux qu’elle encourage à l’art sur toutes ses formes. Comme dit Léo Ferré: « Elle poétise le prolétaire »

Un producteur les fait tourner dans des discothèques branchées, puis un manager leur trouve des contrats dans différents cabarets d’Europe. Les deux artistes peignent des diapositives qu’un projecteur diffuse sur leurs corps dénudés.

  • Dans les années 80, les deux amants et partenaires artistiques se séparent. Lui se consacre à la guitare et à la chanson. Elle décide de le quitter. Mais trop tard, elle s’est engagée à louer un local poussé par son partenaire Joyeux qui crée ce lieu mais s’en détache régulièrement pour faire de la musique et produire ses CD. Elle ne peut suivre sa nouvelle passion, un homme du Sud-Ouest, et se retrouve patronne d’un lieu qu’elle n’a pas voulu: Un restaurant musical. Puisque le créateur Joyeux le construit de ses mains mais c’est inscrit au registre de commerce à son nom Elisabeth Meissirel. Elle prendra toutes les responsabilités,
  • Ce lieu Joyeux de cocotier l’appelle « La Payotte ». La cuisine est créole et chacun se partage le travail.
  • Joyeux devenu chanteur pense plus à sa carrière qu’à ce lieu, et passe son temps à Paris, Ibiza l’été. Malgré les beaux voyages à la Réunion, en Guadeloupe et au Brésil qu’elle fait pendant ses vacances avec lui, elle éprouve un sentiment de solitude.
  • Elle est obligée de se débrouiller trop souvent seule, elle se produit de nouveau dans les discothèques en tant que danseuse pour payer ses dettes.
  • L’affaire, à La Payotte, a des moments de gloire, avec le personnage que s’est créé Joyeux en s’anoblissant: « De Cocotier. » Il séduit ou déplait mais ce qui se passe dans ce lieu, atypique est apprécié par le public. Il donne le surnom de « Vanille » à Élisabeth qui monte des spectacles sur des comédies musicales américaines.
  • Ce lieu tremplin d’artiste, découvre les premiers pas de l’humoriste Élie kakou, Kamel et d’autres comédiens moins connus.
  • Pendant toutes ces périodes Élisabeth Meissirel, se réfugie dans la création : Ses spectacles, ses peintures, ses poésies.
  • Grand prix de peinture de la ville de Marseille en 1987, puis le prix spécial du Jury et prix du public en 1988 à la mairie de Simiane-Collongue.
  • Elle participe à une fresque murale de la clinique Sainte -Elisabeth pour soutenir les malades en fin de vie.
  • Elle est appréciée par un commissaire priseur qui lui propose de vendre deux de ces tableaux aux enchères. En 1995, sa côte picturale monte.
  • vente aux enchères américaines par luc Elysée Serraf d’une toile au profit de la ligue contre le cancer en 1996.
  • Elle expose dans plusieurs galeries marseillaises dont Galerie Jouvène et galerie du Lacydon.
  • Elle expose aussi à la mairie du 1er arrondissement, appréciée par le maire de l’époque M. Imbert.
  • Elle est appréciée par une femme Eliane Zayan qui monte plusieurs café-théâtre et crée le Festi’femmes.
  • Elle participe donc à plusieurs Festi’ femmes d’abord en tant que peintre en 1997 et 2000, Puis plus tard en tant que écrivaine et poétesse. En 2004 pour la sortie de son roman :
  • « Mademoiselle Babette » Edition Passeport pour la Poésie

  • Sa cotation au marché de l’Art en 2008 est de 700€ pour un format 10 points expressionniste figurative à connotation Naïve, hors ces formats la Cotation est libérée ; elle est laissée à l’appréciation de l’artiste ( suivant sujet, format et encadrement). Pour le format étalon de 10 points pour l’écriture en figuration libre. Thierry SAMUEL WEIS Expert à la Cour d’Appel d’Aix en Provence. Membre du Syndicat des Experts professionnels en Œuvre d’art (Paris)

  • En 2011, exposition peinture au Théâtre Axel Toursky et signature du roman « Il était une fois La Payotte » (même éditeur) Ses deux romans, parlent de ses passions amoureuses et créatives, de la rencontre avec plusieurs artistes, de ses soirées de fêtes et d’animation à Ibiza avec Joyeux de Cocotier. De son adoration pour Cargèse en Corse qui reste pour toujours son havre de Paix. Ces deux romans autobiographiques sont les sous-titres de: « Mémoires d’une Marseillaise »
  • Elle expose aussi au Creuset des Arts à Marseille, à Ibiza, à Saint-Tropez en 2008, sa côte continue à monter, expertise de Samuel Weiss et la côte des arts et Artrinet.
  • Née avec plusieurs cordes artistiques, probablement peu fortuites, puisque dans les gênes familiaux. Du côté paternel des artistes de cabaret tel qu’un arrière oncle chanteur, proche de Gabi Delhi et Mistinguette et La Grande Eugène qui ne l’encourage pas dans la vie artistique par peur des reproches venant de la famille, lorsqu’ elle se fait la cavale avec Joyeux à Paris dès ses 21 ans.
  • Elle danse avec Joyeux de Cocotier chanteur auteur interprète, son partenaire au théâtre D’Orange lors de l’anniversaire des 30 ans de kassav, en première partie.
  • Elle fait l’acquisition de l’immeuble de La Payotte en s’endettant souverainement. Son perfectionnisme fait qu’elle se consacre beaucoup à l’entretien de ses biens et au développement de projets artistiques en tant que mécène. Ses créations artistiques personnelles sont des évasions du monde moderne vers un retour à la nature biologiquement vital pour elle, à une sublimation positive dans les domaines de la poésie, en peinture et du théâtre.
  • Elle met en valeur de nouveaux talents aussi bien dans la danse, dans la création, de la magie, dans la peinture, dans l’humour lors de soirées réservées par des personnes venant en groupe au cabaret-théâtre la Payotte.
  • Pour ce Festi’ femmes en 2013, elle lira son poème sur les femmes au théâtre Axel Tousky en ouverture du spectacle des comédiennes du festi’femmes. Son texte sera lu au pavillon M le 8 mars et au Silo le 9 mars par Sylvie Flepp de « plus belle la vie ». Elle amène dans son sac de saltimbanque une nouvelle dans la série mémoires d’une marseillaise et un recueil de fables et d’histoires poétiques.

– En Novembre 2013, elle sort un Essai consacré à sa vie de propriétaire, « le Blues du proprio » c’est un chapitre de sa vie de femme et de sa rébellion contre les incivismes, les profiteurs, les marchands de sommeil, et un certain laxisme politique.

– En 2013, son festival «  ART et CREATION » fait partie des exposants au Pavillon M lors de la célébration de Marseille, capitale de la culture. La payotte restant un des lieux culturels mythiques de la citée Phocéenne.

– Le 5 MAI 2014, elle passe en tant que l’Invitée de la poésie au « SEPT A VOUS » animé et créé par Guy Feugier: (Médaille d’or de l’académie de La Poésie Française) Questions sur la famille, la vie, la mort, la gloire et Dieu. Ses poésies seront lues par des poètes et des comédiens, le groupe « les diseurs de Bonheur » au Théâtre Hang ‘Art à Marseille.

– En 2014 La Payotte fête ses 30 ans. Du 22 MAI AU 12 JUILLET 2014 où de nombreux artistes (poésie, chansons, humour, danse et peintures) seront présents.

Depuis sa plus tendre enfance, la peinture reste un idéal, une évasion. La photo également lui permet de concrétiser ses émotions, d’écrire des nouvelles où se conjuguent peintures et photos.
2015« Escapade tropicale »  2016 «  Mes Hommages à la Mer » éditions un sens à la vie, sa propre édition de l’association Yo qu’elle développe dès aujourd’hui. Dessins et peinture dans 2 recueils de poèmes « fables et histoires fantastiques » et  « perles de lune »
Elle prépare une nouvelle exposition 2018, dans une autre démarche artistique plus influencé par ce qui se passe dans le monde et dans le temps qui passe.
De nouveaux admirateurs de sa peinture l’incitent à reprendre les pinceaux.
L’association Yo est le cœur de la payotte !
En 2O22 elle expose les œuvres de JOYEUX DE COCOTIER au 28 RUE CHATEAUREDON 13001 « les guitares qui parlent » ART sauvage moderne et étonnant
Un coin culinaire pour repas entre adhérents et amis de la payotte
Organisation de rencontres littéraires, philosophiques ou poétiques
Elle réactualise le blues du proprio de galère en galère Essaie sur des anecdotes et les scandales
Une étude de mœurs entre profiteurs, marchands de sommeil. Un parcours atypique d’une propriétaire humaniste. Dans son prochain essaie-roman, elle parlera des « gens » qui ressemblent étrangement à ceux qui entrent dans sa vie professionnelle depuis qu’elle rénove et loue des appartements, avec une teinte d’humour et de philosophie sur la condition humaine. Exister, est à chaque jour pour elle une aventure, une surprise, une idée.
Signature au carré des écrivains Espace Centre Bourse LE samedi 26 NOVEMBRE 2022 de 14H à 18H
Sur le plan scène, ses nouveaux spectacles sont de la pantomime sur des chansons d’avant.
La pantomime expression gestuelle et mimiques sans chanter. Connus Mime MACEAU- Dan Leo-Colette-Charlie Chaplin.
Ses œuvres picturales sont exposées dans la salle dite Le cœur de la Payotte où elle peut s’exprimer aussi dans la danse libre d’expressions et la faire partager pour l’épanouissement de chacun et l’ouverture au bonheur par soi même. – Pour ce vécu qui est le sien depuis l’enfance, « Aimer la vie », c’est ne plus avoir peur. Et de nos jours s’est s’armer de courage, mais avec elle, c’est la fleur au fusil.

Mémoires d’une Marseillaise « Melle Babette » et « Il était une fois la Payotte »
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